Une nouvelle revue des études sur les interventions hormonales pour les enfants atteints de dysphorie de genre n'a pas constaté d'amélioration constante de la santé mentale. |
Kathleen McDeavitt, Baylor College of Medicine : Paediatric gender medicine: Longitudinal studies have not consistently shown improvement in depression or suicidality, Acta Paediatria, juin 2024. Disponible en entier sur le site de l'Observatoire de la Petite Sirène.
À partir de 6 revues des preuves, McDeavitt a analysé 14 études longitudinales. Cette analyse révèle que la majorité n'a constaté aucune amélioration de la dépression ou des tendances suicidaires. La plus grande étude incluse dans la revue (Hisle-Gorman et al., 2021) a rapporté de résultats négatifs en matière de dépression, une augmentation des visites psychiatriques pour tendances suicidaires et une augmentation significative de l'utilisation d'antidépresseurs après le début d'un traitement hormonal.
Bien qu'elles soient longitudinales, les études comportent de courtes périodes de suivi, la moitié s'étendant sur un an ou moins. La durée de suivi la plus longue s'étendait sur 6 ans (études hollandaises, de Vries et al. 2011 et 2014)
Conditions d'inclusion des études
Liste des études incluses
Résultats
Problème clé repéré dans le études
Point fort de la revue
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