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La plupart des jeunes allemands dépassent les diagnostics d’identité de genre

Dernière mise à jour : 9 juil. 2024

Une nouvelle étude révolutionnaire sur les données des assurances suggère que la majorité des jeunes allemands ne persistent pas dans leur identité transgenre après cinq ans.


Illustratif
Image réalisée par Christina Buttons

Méthode

« Analyse des données d’assurance de routine à l’échelle nationale. (...) Les données de facturation à l'échelle nationale des associations légales d'assurance maladie en Allemagne (...), ont été évaluées (...). Pour les assurés âgés de 5 à 24 ans, la prévalence des diagnostics psychiatriques CIM-10 F64 codés comme confirmés dans au moins deux trimestres (M2Q) par année civile a été calculée pour les années civiles 2013 à 2022 (environ 13,4 à 14,0 millions d'assurés). »

Résultats

« Au moins un diagnostic psychiatrique supplémentaire a été codé pour 72,4 % des personnes ayant reçu un diagnostic F64 [Trouble de l'identité de genre] en 2022 (...). Les plus fréquents étaient les troubles dépressifs (...) les troubles anxieux (...), les troubles de la personnalité émotionnellement instables de type borderline (...), le trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité. (...) et trouble de stress post-traumatique.

Dans la cohorte longitudinale (n = 7 885, 47,1 % de 20 à 24 ans, 37,7 % d’hommes), après cinq ans, seulement 36,4 % avaient un diagnostic F64 confirmé, avec une persistance diagnostique < 50 % dans tous les groupes d’âge (27,3 % [15- (femmes de 19 ans] à 49,7 % [hommes de 20 à 24 ans]). La persistance diagnostique de moins de 50 % dans toutes les tranches d'âge au suivi à 5 ans est conforme à la littérature et reflète probablement la fluidité de la notion d'« identité de genre » dans l'enfance et l'adolescence. »


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